Another good film last Friday, most of you enjoyed it; it was funny though the subject was quite dramatic. As I said at the meeting after the film the end – which was of the kind “all is well that ends well” – was quite far from reality. And what’s more some facts are totally fictitious.
Here are some of the discrepancies:
-
The real Rose Gooding wasn’t Irish. She was born in Lewes, Sussex, England.
-
The real Rose Gooding was married to a white British man at the time of the story.
-
Rose appeared in front of Littlehampton magistrates in September 1920. She was charged with criminal libel, and due to the fact that her family couldn’t afford bail, she spent three months in prison. Edith made sure not to send letters while Rose was behind bars. As soon as Rose was released, Edith started sending the letters again, determined to destroy the life of her former friend. Once again Rose went to court. Rose was found guilty and sentenced to 12 months in prison with hard labor. Though her appeal was dismissed, she was released after just three months due to the fact that Edith’s scheme had begun to unravel.
-
The real Gladys Moss was not of Indian ancestry. She was white British. She held the distinction of being Sussex’s first female police officer.
-
The judges who presided over the trials surrounding the poison-pen letters were all white men. In fact, it would be decades before a black judge was appointed to the bench in the UK. The man credited as becoming the first black magistrate in the UK is Eric Irons, whose work as a magistrate began in 1962.
I hope this will answer the questions I was asked and at the time didn’t have the answers to. If you want to know more here is the site where I found the information: https://www.historyvshollywood.com/reelfaces/wicked-little-letters/
In conclusion: in my opinion a film which claims it is a true story and uses the real characters’ names should not take so many liberties with history. It is misleading especially to the new generations to think that at the beginning of the 20th c. there could be back judges or women police officers of Indian ancestry. Equal rights and equal opportunities for different races and different sexes have been (partially) won after much fight, let’s not
Encore un bon film vendredi dernier, la plupart d’entre vous l’ont apprécié. Il était drôle bien que le sujet soit assez dramatique. Comme je l’ai dit lors de notre rencontre après le film, la fin – qui était du genre « tout est bien qui finit bien » – était assez éloignée de la réalité. Et de plus, certains faits sont totalement fictifs.
En voici quelques exemples :
-
Rose Gooding n’était pas irlandaise mais anglaise.
-
A l’époque de l’affaire Rose Gooding était mariée à un anglais de race blanche.
-
Rose a comparu devant les magistrats de Littlehampton en septembre 1920 et comme elle n’a pu payer la caution elle a passé 3 mois en prison. Pendant ce temps Edith a arrêté d’envoyer des lettres mais a repris dès que Rose est sortie. Lors du procès, Rose a été jugée coupable et condamnée à un an de travaux forcés. Bien qu’elle n’ait pu faire appel, elle a été libérée au bout de 3 mois, Edith étant devenue suspecte.
-
Gladys Moss n’était pas d’origine indienne. Elle était anglaise et blanche. Par contre elle a bien été la 1ière femme policier au Sussex.
-
Les juges qui ont présidé les procès étaient tous blancs. En fait il faudra attendre 1962 pour qu’un juge noir soit nommé au Royaume Uni.
J’espère que ceci répondra aux questions que l’on m’avait posées et auxquelles je n’avais pas de réponse à ce moment-là. Si vous souhaitez en savoir plus, voici le site que j’ai utilisé : https://www.historyvshollywood.com/reelfaces/wicked-little-letters/
J’espère que ceci répondra aux questions que l’on m’avait posées et auxquelles je n’avais pas de réponse à ce moment-là. Si vous souhaitez en savoir plus, voici le site que j’ai utilisé : https://www.historyvshollywood.com/reelfaces/wicked-little-letters/
En conclusion : à mon avis un film qui dit être une histoire vraie et qui garde les noms des personnages réels ne devrait pas s’éloigner autant de l’Histoire. Cela induit en erreur surtout les jeunes générations qui alors peuvent penser qu’au début du 20ième siècle il pouvait y avoir des juges noirs et des femmes policiers d’origine indienne. L’égalité des droits et des chances pour tous sans distinction de race ou de sexe a été difficilement – et encore partiellement actuellement – acquise après beaucoup de combats, ne l’oublions pas.”